Radio Télé Masseillan Info - Plus de sens à l'info!
Dans un contexte crucial où les marmites des revendications légitimes bouillonnent en Haïti, l’Amérique de TRUMP, à travers la CARICOM et l’OEA reprend sa badine. En guise de récompense, ils ont renoué les pourparlers avec les représentants des 62 entités…
Mais à bien y réfléchir, qui travaille réellement en Haïti ? Qui, aujourd’hui, peut vivre dignement de son activité sans tendre la main à la diaspora ou survivre à coups de miracles ? Quel est ce travail qui nourrit, soigne, instruit, loge sans appui extérieur ni combine politique ?
On nous avait promis des héros, on découvre des touristes en uniforme. On rêvait de libérateurs, on se retrouve avec des visiteurs hésitants, pris dans les méandres d’un État fantôme et d’une stratégie policière aussi vide qu’une conférence de presse du CSPN et du CPT.
Votre discours, Monsieur Macron, transpire de cette posture paternaliste si familière. Vous nous parlez de « vérité historique » comme d’un horizon commun, d’un « avenir apaisé », d’un « dialogue sincère ». Mais la vérité, elle est déjà connue. Elle a été établie, documentée, dénoncée par des générations d’intellectuels haïtiens, caribéens, français, et même par vos propres institutions. Ce que vous refusez, c’est d’en assumer les conséquences politiques et financières.
« L’aéroport Antoine Simon des Cayes est désormais ouvert aux services internationaux, sous la présidence de Leslie Voltaire. » Voilà la phrase magique, la trouvaille de dernière minute. Comme un élève en échec qui griffonne quelques lignes absurdes la veille des examens,…
Oh, quel grand spectacle offert par le Premier ministre Alix Didier Fils-Aimé ! Derrière son pupitre, les mots lourds d’espoir mais légers en solutions pleuvent sur un peuple exsangue. Avec une arrogance digne d’un mauvais prestidigitateur raté, il nous livre, le 12…
Dans une ville comme Aquin, où l’obscurité n’est plus un simple phénomène naturel mais un état permanent, où la boue après chaque pluie rivalise avec l’histoire glorieuse de ses pavés anciens, Monsieur le Maire adjoint a trouvé son combat :…
Cinq mois plus tard, les espoirs s’amenuisent : la violence de l’insécurité continue de ravager la capitale et plusieurs régions du pays. Des terroristes avides de gagner plus de territoires, s’emparent du pays « quartier par quartier, ville par ville, maisons par maison ». Quand le slogan de Garry Conille est mis en œuvre par le regroupement terroriste « Viv Ansanm »? Paradoxal, non ?